La manière de manager une équipe est révélatrice de sa personnalité et de sa propre vision en la matière. Pourtant, avec l’expérience, un directeur ou cadre change de style, souvent pour le meilleur.

Laisser du temps au temps tout en gardant le cap et en ménageant les susceptibilités de chacun… Un exercice subtil auxquels doivent se livrer les directeurs et cadres pour mener à bien leurs missions. Et pour y parvenir deux qualités sont indispensables : la patience et la persévérance.

Couverture et illustration intérieure.

La diplomatie, tout un art. À l’instar de la gestion des affaires étrangères, savoir s’adresser à des interlocuteurs aux intérêts divergents constitue un enjeu crucial pour les directeurs. Objectif : éviter et savoir dénouer les conflits, tout en faisant passer son message.

Direction(s). Jeunes directeurs. L’âge des possibles.

Diriger et procrastiner sont-ils incompatibles ? Rares sont les cadres qui avouent cette fâcheuse tendance à reporter à demain les tâches du jour. Un sujet tabou autant qu’une question de crédibilité. Un penchant aux racines profondes qui n’est pas inéluctable et qui peut parfois être un atout.

  Pas facile de prendre la tête de l’équipe dont on faisait partie jusqu’alors. C’est avec plus ou moins d’aisance que les cadres issus de la promotion interne revêtent leurs nouveaux habits de chef et font le deuil de leurs précédentes relations.

Si l’estime de soi relève avant tout de ressorts intimes, difficile d’en faire abstraction dans le cadre professionnel puisqu’elle conditionne en partie la nature des relations à autrui. Sans compter que les directeurs doivent aussi faire avec celle de leurs collaborateurs.