Road to nowhere où nous logions. La neige n’est pas encore tombée. Il fait gris. Tout est affreusement déprimant.
Il y a peut-être trois kilomètres de routes autour de la ville. Et c’est tout. Mais de nombreux habitants ont leur voiture, qui ne leur sert qu’à circuler en ville. Où il y a de très nombreux taxis. Six dollars la course, quelle que soit la distance.
La toundra à la sortie de la ville. C’est un parc national qui doit être très beau sous la neige. Il commence au bout de la piste de l’aéroport.
Il a enfin neigé. Le ciel est gris aluminium.
Le jour de très grand bleu. Ciel et neige se marient à merveille. Tout est lumineux. Beau.
La neige ne cache pas les innombrables poteaux et fils.
Beaucoup de lieux sont en pleine décrépitude.
L’amplitude de la marée est la deuxième plus forte au monde. dix mètres. C’est très impressionnant.
Il n’y a pas de port à Iqaluit. Quand elles n’arrivent pas en avion ( 5 dollars le kilo de fret ), les marchandises arrivent en bateau, par container. Le porte-container reste dans la baie, et des barges font des allers et retours avec le bord pour décharger. Ce cargo est resté toute la semaine où nous étions là.
Une île sacrée. Il y a des restes d’habitations, de l’eau douce, de la faune, des tombes.
En une heure, la marée a commencé à descendre. La neige marque la hauteur de la marée haute.
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